Résumé
Mots-clés
À l'aube du XXème siècle, dans une maison close à Paris, une prostituée a le visage marqué d'une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique. Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s’organise, leurs rivalités, leurs craintes, leurs joies, leurs douleurs... Du monde extérieur, on ne sait rien. La maison est close.
Découvrez le phénomène cinématographique de 2011 avec L'Apollonide, souvenirs de la maison close, un film magistralement dirigé par Bertrand-Bonello et interprété par l'émérite Hafsia-Herzi. Classifié dans le genre drame, ce film d'une durée de 102 minutes, a captivé les audiences et les critiques, recevant une note de 6.6. L'Apollonide, souvenirs de la maison close tisse une toile narrative fascinante, mélangeant habilement suspense, drame et intrigue dans un récit qui ne manque jamais de surprendre. À travers une histoire qui explore les thèmes de l'amour, de la trahison, et du courage, ce film réussit à toucher le cœur et l'esprit, offrant une analyse subtile des dilemmes moraux contemporains. La direction artistique est impeccable, avec des décors somptueux et des costumes qui reflètent parfaitement l'époque et le setting du film. Chaque cadre est une peinture, chaque scène un poème, faisant de L'Apollonide, souvenirs de la maison close une œuvre d'art totale. Le film est un voyage émotionnel intense qui vous laissera à la fois ému et inspiré.